1 Una parte può chiedere al giudice che ha statuito sulla causa in ultima istanza la revisione della decisione passata in giudicato se:
a. ha successivamente appreso fatti rilevanti o trovato mezzi di prova decisivi che non ha potuto allegare nella precedente procedura, esclusi i fatti e mezzi di prova sorti dopo la decisione;2 La revisione può essere chiesta per violazione della Convenzione europea del 4 novembre 19501 per la salvaguardia dei diritti dell’uomo e delle libertĂ fondamentali (CEDU) se:
a. la Corte europea dei diritti dell’uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la CEDU o i suoi protocolli sono stati violati;1 RS 0.101
Fatti nuovi
La révision ne peut être demandée que pour des noviter reperta, soit des faits ou
des preuves préexistants révélés a posteriori, et non pas pour des faits ou des
preuves nés après coup. Entrent donc en ligne de compte, pour que la révision soit
ordonnée, les faits et les preuves qui démontrent à eux seuls, ou mis en parallèle
avec d'autres éléments du dossier, l'inexactitude ou le caractère incomplet de la
base factuelle du jugement entrepris, sans qu'il y ait lieu de décider, dans la phase
du rescindant, si le jugement doit être modifié, mais uniquement si les éléments
nouveaux justifient une réouverture de l'instance pour nouvelle décision sur l'état
de fait complété. Le point central de la révision est l'ignorance, du côté de la partie
non fautive potentiellement lésée, d'un élément qui aurait été susceptible d'influer
sur l'issue de la cause (c. 3.1). Cour de Justice Chambre civile (GE) ACJC/51/2013 del 11.1.2013
InammissibilitĂ della revisione in materia di diniego di rigetto dell'opposizione
La revisione è possibile solo se l’impugnato giudizio risulta vincolante, per avere esso assunto forza di cosa giudicata materiale, ed invece non è data se è facoltà della parte interessata riproporre il medesimo contenzioso davanti al giudice; in altri termini, soggetti a revisione sono di regola i “Sachentscheide”, nei quali il tribunale ha statuito sulla materiale fondatezza di una richiesta. Ciò non è il caso della decisione di reiezione di un’istanza di rigetto (definitivo) dell’opposizione, che non ha forza di cosa giudicata materiale: nulla impedisce all’istante di riproporre una nuova procedura esecutiva e di ripresentare una nuova istanza di rigetto dell’opposizione allegandovi la relativa (nuova) documentazione. Camera di esecuzione e fallimenti del Tribunale d'appello (TI) 14.2011.64 del 1.6.2011 in RtiD 2012-I p. 967
Opposizione al sequestro e revisione.
Der Revision nach Art. 328 ff. ZPO unterliegen nur Gerichtsentscheide, sofern der angefochtene Entscheid Verbindlichkeit im Sinne der materiellen Rechtskraft aufweist. An einem der Revision zugänglichen Entscheid fehlt es, wenn dieser zwar formell rechtskräftig, aber nicht materiell rechtskräftig und jederzeit auf Begehren überprüft und korrigiert werden kann, was z.B. bei vorsorglichen Massnahmen grundsätzlich zutrifft (E. 3.2.1).
Es ist anerkannt, dass nach Abweisung oder Aufhebung eines Arrestes ein Arrestbegehren neu eingereicht werden kann (BGE 60 I 255 E. 2 S. 256), so mit einer veränderten, um neue Tatsachen und Beweismittel ergänzten Begründung. Der Beschwerdeentscheid, mit dem die Gutheissung der Arresteinsprache bestätigt wird, kann somit nicht wegen nachträglich entdeckter Tatsachen und Beweismittel in Revision gezogen werden (E. 3.2.2). Tribunale federale 5A_59/2012 del 26.4.2012 in DTF 138 III 382
Transazione giudiziaria - mezzi d'impugnazione
Der Abschreibungsbeschluss bildet kein Anfechtungsobjekt, das mit Berufung oder Beschwerde nach ZPO angefochten werden könnte. Lediglich der darin enthaltene Kostenentscheid ist anfechtbar (Art. 110 ZPO) E.1.2).
Der gerichtliche Vergleich selbst hat zwar die Wirkung eines rechtskräftigen Entscheides (Art. 241 Abs. 2 ZPO), kann aber einzig mit Revision nach ZPO angefochten werden (Art. 328 Abs. 1 lit. c ZPO; E. 1.3). Tribunale federale 4A_605/2012 del 22.2.2013 in DTF 139 III 133
Transazione omologata dal giudice - Domanda di revisione - TempestivitĂ - Mezzi di impugnazione
Le jugement qui déclare la demande en révison irrecevable est une décision finale. La voie de recours est ainsi celle qui aurait été ouverte contre la décision d'origine, c'est-à -dire le jugement de divorce (c. 1.1).
Une transaction se concluant sur la base de concessions réciproques faites en considération des risques inhérents à la procédure, le juge n'admettra pas à la légère l'invalidité d'une transaction (c. 2.2).
Le délai de l'art. 329 CPC pour demander la révision prévaut sur celui de l'art. 31 CO. Il incombe au demandeur en révision d'établir qu'il a fait preuve de la diligence requise et qu'il n'aurait pas pu raisonnablement avoir une connaissance de l'élément découvert avant la date qu'il invoque (c. 2.2.2). Cour de Justice Chambre civile (GE) ACJC/1377/2012 del 28.9.2012
Transazione omologata dal giudice - mezzi d'impugnazione
Selon l'art. 241 al. 2 CPC, une transaction (judiciaire) a les effets d'une décision entrée en force. Une fois celle-ci consignée au procès-verbal, le tribunal raye la cause du rôle (art. 241 al. 3 CPC). L'admissibilité dans un tel cadre d'un appel ou d'un recours est controversée, au motif que la convention ne constitue pas une décision (cf. Tappy, CPC commenté, n. 37 ad art. 241 CPC et les références citées): seule la voie de la révision au sens de l'art. 328 al. 1 let. c CPC serait ainsi ouverte contre une telle transaction.
Toutefois, par application analogique de l'art. 279 CPC une convention de mesures protectrices de l'union conjugale peut être ratifiée par le juge, qui rend ainsi une décision. Dans ce cas la convention perd son caractère purement contractuel, et la situation est ainsi différente de celle prévue par l'art. 241 al. 2 CPC, où le juge se limite à rayer la cause du rôle. Si une partie apprend une cause d'invalidité d'une convention, par exemple un vice de la volonté, après la décision de première instance, mais alors que celle-ci n'est pas encore exécutoire, elle doit faire valoir ce moyen dans le cadre d'un appel. Une révision selon l'art. 328 al. 1 let. c CPC n'entre ainsi en considération que si la cause d'invalidité de la convention se révèle seulement après l'entrée en force de la décision de première instance ratifiant la convention (c. 1a). Juge délégué de la Cour d'appel civile (VD) HC / 2011 / 622 n. 310 del 22.11.2011 in JdT 2011-III p. 183
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